APRÈS

De septembre à décembre 2010, j'ai remonté la côte, de Cabourg à la frontière belge - 6.000 km d'allers-retours de Paris -, méthodoquement, plage après plage, station balnéaire après station balnéaire, pour y saisir le vide qui suit la marée estivale. Un travail sur l'absence, l'empreinte du temps et les traces que l'homme ne manque jamais de laisser dans la nature pour y marquer son territoire.